Camp national aux Riceys

Le camp que nous avons vécu cet été a été particulièrement intense. A la différence de celui de l’année passée dans la forêt d’Orléans où nous nous étions retrouvés avec Tours et Blois, le camp de cette année était un camp national. Sur un même terrain, les Riceys en territoire de Champagne se sont retrouvés tous les groupes du mouvement soit plus d’un millier de participants entre les enfants, les encadrants et tout le personnel en charge de la logistique. Vous décrire un tel camp n’est pas chose aisée tant selon le poste que vous occupez, vous allez vivre un camp très différent d’un autre.

Les louveteaux à la différence des éclaireurs étaient organisés en sous camps autonomes. Nous avons donc campé avec le groupe de St Louis, ville située en face de Bâle en Suisse et deux jeunes de St Girons dans les Pyrénées. C’est le groupe de St Louis qui a apporté le gros des effectifs en chefs et jeunes. Nous nous sommes transportés en Polynésie pendant le camp pour aider la tribu des Moi-Moi qui avait des problèmes sur son île. Nous avons voyagé dans les îles voisines pour trouver un remède et ainsi sauver l’île. Cet imaginaire a été le support de grands jeux, veillées, travaux manuels pour faire vivre en parallèle le thème général du camp qui était « prend soin de ce/ux qui t’entoure ». Il a ainsi été largement question de s’occuper de la création mais aussi de son prochain.

Même si les sous camps étaient autonomes, nous nous sommes retrouvés plusieurs fois tous ensembles : une grande veillée, un culte et une grande après midi jeux olympique, évènement national oblige. Nous avons également fait deux veillées avec le sous camp voisin, en même temps il s’agissait de connaissances vu que s’y trouvait Blois et Versailles.Un moment particulièrement fort de notre camp a été le temps de promesses où 4 louveteaux du Sycomore se sont avancés et ont prononcé leur promesse devant tout le camp.